Nous sommes arrivés, sans le bateau, pour une fois. Pour laisser gagner les
autres, bien entendu ! En arrivant, première grande surprise, la Cata n'est pas
arrivée à J-C Jegou. Nous nous rendons en voiture sur la grande jetée pour
retrouver les copains. Il fait froid, Fanny court mais Michel arrive à peine à
marcher. Jean-Claude offre un cadeau à Fanny. Pour la remercier d'avoir
téléphoné "pour sauver Jegou". Retrouvailles. Lilou nous presse pour aller
manger. On se retrouve au bas de la jetée. Il faut se dépêcher car les bateaux
doivent partir avant 13 heures sinon, ils seront à sec !
Pendant que nous mangeons, les équipages se forment, enfin, tentent
de se former car personne n'arrive à en boucler un. Il est 12h55, il faut
partir, maintenant. Coralie, Lilou, Élisabeth, Françoise, Maman, Émilie et nous
décidons de rester car 6 heures, c'est trop long, et tout n'est pas prêt. En
plus, il faut préparer la salle pour le soir. Arrivés là-bas, on commence à
s'organiser et décidons de nous retrouver à 17 h pour mettre en place le buffet.
Nous nous rendons chez Coralie et Didier. Nous visitons la maison et allons
faire un tour en ville acheter une mini-station-météo pour Didier et Coralie et
un bouquet de fleur pour Christian et Lilou tandis que Coralie fait des gâteaux.
17h : il est temps de retourner à la salle. Nous mettons en place
tables et buffets et allons voir l'arrivée des bateaux. Nous nous rendons à la
salle pour l'apéritif et passons à table rapidement. C'est dans une bonne
ambiance que le repas se déroule. José a eu l'idée d'une nouvelle rubrique :
"Mieux vivre à bord". Premier article, l'entonnoir. Fou rire général. Puis nous
chantons, Papa et Didier dansent et tout le monde rigole. La soirée se finit
bien.
Dimanche matin, nouveau départ vers la plage de l'Herbe. Pollen prend
Fanny, Sarah prend Capiroo, Papa et Maman montent sur Bilou Bulle. Sarah et
Émilie finissent en vedette et assistent à l'arrivée. Pendant ce temps, Fanny a
appris à barrer. Tout le monde débarque et nous mettons en commun la nourriture.
Déjeuner sur la plage à surveiller sans cesse les bateaux ; ils ne doivent pas
s'échouer. Pendant que nous mangeons, les "promène-voyageurs" arrivent et
pendant 10 minutes, ils se suivent et se ressemblent ! Nous tenons les bateaux.
La veille, nous avions eu l'idée d'un bateau de femmes, la mise en place
n'est pas loin. Marie, Maman, Élisabeth, Coralie, Françoise et Sarah montent sur
Pollen que Didier a bien voulu nous prêter.
Ça y est ! Nous décidons de "gaffer" : Sarah, à l'avant, tiens la gaffe et
les autres .................... mettent de la crème solaire en se faisant la
réflexion que les hommes ne penseraient même pas à en mettre. Marie a bien envie
d'essayer le spi. Alors, nous l'envoyons, aidés par Bernard Badet, que nous
tenons à l'écart car "aucun homme sur le bateau". Tout va bien jusqu'au moment
où il faut affaler. Mais nous nous en tirons bien, grâce à Michel qui nous a
aidé et arrivons en bonne place. Nous avons très bien fait marcher le bateau
grâce à Coralie qui fait une nav' à frôler les perches. Pas les premiers, c'est
la vedette ; pas les deuxièmes, c'est Bertrania-"pas possible" fait Élisabeth -
; pas les troisièmes, c'est Capiroo- Françoise est aussi étonnée qu'Élisabeth -
; mais nous sommes les quatrièmes !!! Marie est toute contente car, comme elle
dit : "J'ai gratté mon père !" et nous nous rendons compte que même Papa est
derrière. On se plante et Maman saute pour pousser le bateau et arrive... dans
la vase ! Elle remonte et ne bouge plus. Didier est content de nous mais ne
rigole plus en voyant l'état de l'avant de son bateau. Arrivée des derniers
bateaux et apéritif sur la plage.
Nous nous rendons au restaurant et commençons à manger mais Nicolas tape sur
la tête à Fanny. Nous changeons donc de place. Arrive enfin le moment tellement
attendu des cadeaux. Fanny, préparée depuis des mois, ne s'attend pas a en avoir
un. Et là, surprise FANNYLLIALE, un cadeau !!! Fanny ne comprend plus rien. Nous
nous demandons : "Ne faudrait-il pas un cadeau pour Bernard Badet?" Le repas se
finit calmement.
Lundi matin, on mange et on part, après avoir dit au revoir à tout le
monde.
Conclusion du week-end : c'est difficile d'organiser un rassemblement. Je
pense que tout le monde, et surtout les différents organisateurs, de ce
rassemblement, mais aussi des autres, seront d'accord avec nous.
Sarah et Fanny, Nostria
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